Par jugement daté du 20 janvier 2015, l’APCARS a été retenue par le TGI de Marseille pour reprendre les activités…
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Rencontre avec François Troukens, un cinéaste pas comme les autres. Avant d’embrasser le métier de réalisateur, il a passé plusieurs années en prison. Condamné pour divers braquages, il a connu de près la réalité du monde carcéral. Aujourd’hui, il tient à sensibiliser la société à la nécessite de changer la prison.
Première discussion de cette semaine « Les jours d’après ». Après l’ attentat contre la rédaction de Charlie Hebdo, une des premières annonces visait la politique carcérale. Nous nous demandons aujourd’hui quelles actions doivent être menées en milieu pénitentiaire avec la responsable des études de l’Observatoire international des prisons, Sarah Dindo et un éducateur » passé par la case prison », Yazid Kherfi.
Le numéro 2 du Front national dénonce « un laxisme d’Etat » sur les peines de prison. D’après Florian Philippot, « quand vous êtes condamnés aujourd’hui à 15 ans de prison, la plupart du temps, vous êtes libéré après 7 ou 8 ans ». Vrai ou faux ?
Dans le cadre d’un partenariat entre l’Opéra de Dijon et la direction des services pénitentiaires, neuf détenus ont assisté hier à la “prégénérale” d’une œuvre lyrique à l’Auditorium.
L’Association française des victimes du terrorisme (AfVT) a été mandatée vendredi par l’administration pénitentiaire pour mettre en place un programme expérimental de détection et de prise en charge de la radicalisation religieuse des détenus, selon un communiqué.
L’équipe de La Grande Table reçoit Didier Fassin, anthropologue et sociologue, professeur de sciences sociales à l’Institute for Advanced Study de Princeton et directeur d’études à l’EHESS, à l’occasion de la publication de son livre L’Ombre du Monde. Une anthropologie de la condition carcérale (Le Seuil, janvier 2015).
Faut-il rassembler et isoler les détenus musulmans les plus radicaux ? C’est l’une des annonces de Manuel Valls en réaction immédiate aux attentats. Une erreur, pour Sarah Dindo, de l’Observatoire international des prisons (OIP).
Pour rester « connectés à la vie », les détenus cachent un smartphone, une clé 3G ou squattent un wifi. Un prisme moral, entre autres, limite toujours les expérimentations légales pour faire entrer Internet en prison.
Rien de pire, pour le droit, que ces moments d’intense unanimité, que cette vague d’émotion qui submerge la raison.