Justice ministry report will confirm number of self-inflicted prisoner deaths rose to 82 in 2014
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Pas d’unité nationale qui tienne entre l’UMP et la garde des Sceaux. Alors que la droite plaide pour un durcissement dans le contexte post-attentats, le ministre de l’Intérieur a vanté la sévérité de la politique pénale.
Les peines de prison fermes prononcées pour « apologie de terrorisme » se multiplient après l’attentat de Charlie Hebdo le 7 janvier dernier. La sévérité des juges fait débat et bouleverse l’échelle des peines en vigueur actuellement.
Le Syndicat de la magistrature dénonce le manque de recul des procédures lancées à la hâte après les attentats. Dans les faits, les peines prononcées varient fortement d’un tribunal à l’autre.
Par jugement daté du 20 janvier 2015, l’APCARS a été retenue par le TGI de Marseille pour reprendre les activités…
Rencontre avec François Troukens, un cinéaste pas comme les autres. Avant d’embrasser le métier de réalisateur, il a passé plusieurs années en prison. Condamné pour divers braquages, il a connu de près la réalité du monde carcéral. Aujourd’hui, il tient à sensibiliser la société à la nécessite de changer la prison.
Première discussion de cette semaine « Les jours d’après ». Après l’ attentat contre la rédaction de Charlie Hebdo, une des premières annonces visait la politique carcérale. Nous nous demandons aujourd’hui quelles actions doivent être menées en milieu pénitentiaire avec la responsable des études de l’Observatoire international des prisons, Sarah Dindo et un éducateur » passé par la case prison », Yazid Kherfi.
Le numéro 2 du Front national dénonce « un laxisme d’Etat » sur les peines de prison. D’après Florian Philippot, « quand vous êtes condamnés aujourd’hui à 15 ans de prison, la plupart du temps, vous êtes libéré après 7 ou 8 ans ». Vrai ou faux ?
Dans le cadre d’un partenariat entre l’Opéra de Dijon et la direction des services pénitentiaires, neuf détenus ont assisté hier à la “prégénérale” d’une œuvre lyrique à l’Auditorium.
L’Association française des victimes du terrorisme (AfVT) a été mandatée vendredi par l’administration pénitentiaire pour mettre en place un programme expérimental de détection et de prise en charge de la radicalisation religieuse des détenus, selon un communiqué.