La «justice réparatrice», dont le principe vient d’être inscrit dans la loi, vise notamment à lutter contre la récidive des auteurs de délits et de crimes. Un moyen pour la victime de demander à l’auteur des faits «pourquoi» il est passé à l’acte, et pour le condamné de prendre conscience des faits.
Home
Beaucoup de collectivités accueillent dans leurs services des personnes condamnées à une peine de travail d’intérêt général (TIG). Cependant des freins subsistent,…
Dans la maison centrale de Clairvaux, des assassins et des braqueurs rédigent des textes mis en musique par de grands compositeurs. Reportage sur une expérience unique.
A 48 ans, Sylvain Chatelet, tombé pour braquages, a passé vingt-cinq ans en prison. Sorti il y a huit mois, il réapprend à vivre dans une société paradoxalement agressive.
Sa situation, au coeur de Paris, donnait un moindre sentiment d’exclusion aux détenus et en faisait l’une des prisons favorites de leurs proches et des avocats. « Un de mes clients me disait, quand on est incarcéré à la Santé, on habite le 14e arrondissement », raconte Francis Vuillemin.
Création de la contrainte pénale, abrogation des peines plancher… Voici les principales mesures de la réforme pénale que l’Assemblée a définitivement adopté jeudi 17 juillet :
Adeline Hazan a officiellement pris ses fonctions de Contrôleure générale des lieux de privation de liberté ce jeudi 17 juillet. Elle est revenue sur cette mesure qui, selon elle, permettrait de « prévenir les risques de récidive ».
Le projet de loi relatif à la prévention de la récidive et à l’individualisation des peines a été définitivement adopté par l’Assemblée nationale. Les sénateurs se prononceront jeudi sur le texte.
L’Assemblée Nationale devrait adopter aujourd’hui, la réforme pénale, de manière définitive. Son objectif : punir plus efficacement afin de mieux prévenir la récidive des auteurs de délits. Pour cela, elle vise à adapter la peine à chaque délinquant en essayant de trouver des alternatives à la prison.
Châteauroux. Après un vol avec effraction, Henri a écopé de deux ans. Il évoque ses séjours à la maison d’arrêt d’Orléans et au centre du Craquelin. Témoignage d’un homme aujourd’hui libre.