Après plus de deux ans d’un profond travail de réflexion collective, la garde des Sceaux a présenté le 11 septembre 2014 les grandes lignes de la réforme judiciaire »J21 – La justice du 21ème siècle » aux chefs de cour réunis à la Cour d’appel de Paris, puis aux organisations syndicales accueillies à la Chancellerie.
Revue de presse
Cette mesure fait partie d’un projet de réforme présenté mercredi par Christiane Taubira pour faciliter l’accès aux institutions judiciaires.
Comment « loger » les quelque 1 300 condamnés en attente qu’une cellule se libère en Norvège ? Afin de soulager en urgence son système carcéral encombré, Oslo souhaite louer des cellulles dans des prisons néerlandaises, a annoncé le ministère de la justice norvégien lundi 8 septembre.
Christiane Taubira présente mercredi en Conseil des ministres un projet de loi sur « la justice du XXIe siècle » qui entend rapprocher l’institution judiciaire des citoyens, un texte moins révolutionnaire que souhaité au départ par la ministre de la Justice.
Des riverains de la prison parisienne actuellement en rénovation racontent ce drôle de voisinage.
Malgré son échec, une tentative de vol aggravé conduira un couple de Roumains, récidivistes, derrière les barreaux pour trois mois.
Les sociétés hexagonales sont vulnérables face à des cybercriminels de plus en plus organisés. Pour lutter efficacement contre ces pirates informatiques, qui s’emparent des données personnelles détenues par les entreprises, le parquet de Paris renforce ses équipes et crée un pôle cybercriminalité.
In 1976, Michel Foucault warned against the dangers of institutionalising alternatives to prison. Noting how seemingly progressive strategies can re-enact similar punitive functions to that of the prison, he argued that: ‘the carceral objectives of resocialization through work, through the family and self-culpabilization, are now no longer localized in the closed space of the prison but are being extended and diffused throughout the whole of the social body’ (1976/2009). Thirty-five years later his remarks remain strikingly relevant.
Depuis 2011, un simple citoyen siège dans les commissions disciplinaires qui sanctionnent les détenus. L’un d’eux témoigne pour la première fois.
216 pages de critiques désabusées du monde judiciaire. C’est, en somme, ce que nous sert le magistrat Jean-Michel Lambert dans un livre en forme de coup de gueule. Intitulé De combien d’injustices suis-je coupable ?, l’ouvrage, qui sera publié le 4 septembre aux éditions du Cherche-midi, fait déjà polémique.