Un suivi spécifique a été mis en place pour les personnes en attente de jugement et sous contrôle judiciaire ainsi que pour celles sortant de détention.
«Le plus important est d’arriver à créer un lien de confiance. Nous ne faisons que du cas par cas. Sans juger, nous tentons d’apporter des solutions sociales, culturelles et cultuelles, et de réparer les vulnérabilités.» Samantha Enderlin, la directrice du programme de Recherches et d’intervention sur les violences extrémistes (Rive), marche sur des œufs.