Elles ont pu être confrontées à des criminels, touchées par des violences intra familiales, violentées en raison de leur religion, de leur orientation sexuelle. Les victimes n’ont pas de sexe et tous les âges. Qu’est-il fait pour les aider dans le Val-de-Marne?
Une convention relative à cette question a été signée jeudi au Tribunal de Créteil en présence de la déléguée interministérielle aux droits des victimes Elisabeth Pelsez. Celle qui régit pour une année supplémentaire le bureau d’aide aux victimes (BAV) qui se trouve au sein du tribunal.
Conclue entre la Cour d’appel de Paris, le président du TGI, la Procureure, le bâtonnier et l’association de politique criminelle appliquée et de réinsertion sociale (APCARS), la patronne de la police, elle a pour objet de rappeler les missions très variées de ce bureau : informer les victimes au sujet de l’avancement d’une procédure judiciaire, leur fournir des informations sur l’indemnisation de leur préjudice, les orienter vers un avocat ou encore leur proposer un soutien psychologique.
Le BAV se trouve au sein du TGI de Créteil, rue Pasteur Vallery Radot.